la Rue Jean Marc Bernard 69003 Lyon
la Rue Jean Marc Bernard 69003 Lyon
Situation:
La rue Jean Marc Bernard débute rue Ferdinand Buisson, face au 29, elle traverse l'avenue Lacassagne et se termine rue Trarieux, près de la rue Viala.Les voitures circulent vers le sud.
Histoire:
La rue Jean Marc Bernard a été tracée dans la seconde partie du 19e siècle en doublant la rue Viala.L'urbanisation n'est arrivée que plus tard dans la première partie du 20e siècle.
Architecture:
Après un premier immeuble récent de deux étages coté ouest, la première partie passe entre des maisons individuelles, simples, un étage, en alignement pour la majorité.La société Desvignes a deux entrepôts coté est.
Elle débouche sur l'avenue Lacassagne entre deux maisons plus grandes dans leurs jardins, celle de l'est a une gloriette.
Après l'avenue, coté est, c'est un alignement d'immeubles simples, avec quatre étages, sans commerces, datant de la première partie du 20e siècle, sauf le dernier, tout blanc avec des décrochements qui est du début du 21e siècle.
Coté ouest, après l'immeuble de l'angle, c'est un alignement de petites maisons de un ou deux étages.
L'alignement n'est pas parfait, une maison vient en second plan au 42, celle du 30 est légèrement en retrait.
Dédicace:
Jean Marc Bernard est honoré comme poète.Il écrivait dans la revue les guêpes et faisait partie d'un groupe des fantaisistes.
Son poème De Profundis lui a survécu ainsi que des recueils de ses oeuvres.
Lyon compte aussi une rue Benoît, une rue Jean et un quai Claude Bernard.
Jacques Bernard a été maire de la Guillotière, il a donné de nombreux tableaux au musée des beaux-arts.
La propriété du centre Pierre Valdo, entraide protestante vient du legs Bernard.
Durant la guerre, Jacqueline Bernard a dirigé la rédaction du journal Combat depuis son appartement du 5 rue Terme.
Avenue du Doyenné, près de la ficelle, une plaque conserve la mémoire de Bernard, poète et prophète de la rue 1961~2009.
En 2013, Olivier Bernard a publié une Anthologie de l'ambient, qui ne traite pas de musique lyonnaise mais a été écrite en partie à la bibliothèque municipale.
