la Rue De Créqui 69003 Lyon
C'est une Moyenne Rue
entre la Rue Robert et l' Avenue Félix-Faure
étais , rue des martyrs / 69003
cette rue s'étent sur 2 arondisements, 69006 , 69003 Rue De Créquitrouver votre rue
par arrondissement: 123456789 toute les rues de Lyon.la Rue De Créqui 69003 Lyon
C'est une Moyenne Rue
entre la Rue Robert et l' Avenue Félix-Faure
étais , rue des martyrs / 69003
cette rue s'étent sur 2 arondisements, 69006 , 69003 Rue De CréquiCommentaire:
attestée en 1823Traboule:
cette rue, il y a 1 Traboule N°.222, qui traboule N°. Rue Paul BertMonument classée:
2 monuments est dans cette rue: Bourse Du Travail / Stade Vert Simone Prelle /StreetArt:
il y a 1 streetArts dans cette rue

détail sur streetart.la-passion.fr
Situation:
La rue de Créqui commence boulevard des Belges, face à la place Leclerc, à l'extrémité nord du damier des Brotteaux.
Elle traverse tout le sixième, tout le troisième, puis une partie du septième, jusqu'à la grande rue de la Guillotière, au flanc de l'église Saint Louis devant laquelle elle se prolonge par la rue de la Madeleine.
La circulation se fait depuis la rue de la Madeleine vers le nord, elle est doublée par une piste cyclable, sauf sur les portions étroites où il faut compter sur la patience des automobilistes et accélérer pour la ménager.
Le 220 et le 222 traboulent vers la rue Edison et la rue Paul Bert.
Qui va de Rue Robert a Avenue Félix-Faure
Histoire:
bourse du travail construite de 1929 à 1936 par charles meysson, architecte en chef de la ville de lyon. la grande mosaïque extérieure de la rue de créqui, mise en place en 1934 par 35 mosaïstes, est l'oeuvre du peintre fernand fargeot. elle représente "la ville embellie par le travail" ; on y reconnaît les figures de l'architecte meysson et du maire edouard herriot. la décoration intérieure de l'édifice, réalisée en 1936, est due à une douzaine d'artistes lyonnais. elle comporte des panneaux en simili-plâtre et de grands tableaux, dont certains relèvent du "réalisme socialiste". la grande salle de spectacle a été modifiée en 1971, supprimant le plafond lumineux d'origine.Historique:
A absorbé la rue des Martins. A absorbé la rue des Martyrs en 1878.Architecture:
C'est une immense ligne droite, sauf la petite partie du septième qui est tortueus1. 2près les deux grands immeubles du boulevard des Belges, elle est bordée d'immeubles importants, quatre à sept étages, certains en retrait de la rue, majoritairement construits au 20e siècle, plutôt cossus dans la partie nord.
Certains comme les 9 et 10 arborent des portes à dorures.
Certains sont dallés de marbre et de granite, on peut apercevoir des jardins intérieurs, des tapisseries comme au 9, une statue au 19, daté de 1994.
Le 27 est daté de 1937.
Certains ont des verticales de petits balcons individuels en surplomb comme au 31 daté de 1951 et en face au 30 qui est plus récent.
Le 53, appartenant à l'armée, se distingue par ses immenses ouvertures.
On longe plusieurs édifices religieux, d'abord le chevet de pierres de la Rédemption avec ses arcs-boutants et ouvertures en arc brisé, puis, au 127, l'église Saint Pothin, construite de 1841 à 1843 avec son clocher carré, l'Église anglicane n'a qu'une fenêtre à colonnes et vitraux sur la rue, elle se cache derrière les arbres d'une cour.
Le mémorial aux martyrs lyonnais de 1793, la belle chapelle Sainte Croix a été élevée de 1898 à 1901, elle se distingue par un superbe dôme d'ardoise et des formes ramassées avec une façade de pierres jointées.
Ce monument est bien mis en valeur dans son jardin fleur1. le 73 a une belle porte arrondie en fer noir et verre.
Il reste quelques constructions plus anciennes près du cours Franklin Roosevelt avec des soubassements de pierre comme au 86 et 88, au 87 et 89 avec leurs deux belles portes jumelles et en face, le 76 et 78 aux grandes vitres, ancien établissement industriel Colcombet à l'angle de la rue Tronchet.
On retrouve de nouveau des colonnes de balcons, imposantes comme au 129, plus légères au 137, à l'angle des rues Bugeaud et Bonnet.
Vers la rue le Royer, viennent des constructions administratives aux volumes différents, un étage de fenêtres sur garages, une tour vitrée, et surtout l'imposante barre du tribunal, cinq étages aux innombrables fenêtres avec un jardin et une rangée d'arbres plantés en contrebas.
En face, ce sont des immeubles de bureaux et de logements plus anguleux.
Dans le troisième, plusieurs commerces sont décorés de fresques, sûrement inspirées par l'immense mosaïque de la bourse du travail signée Fargeot en 1934.
Le reste de l'architecture de béton blanche de la Bourse est grande et austère avec une curiosité, les minuscules fenêtres en escalier au 205.
Après la rue Mazenod, on passe à nouveau entre des maisons plus anciennes, certaines à l'abandon.
Une petite tour carrée au 192, une ancienne usine reste isolée au croisement de la rue Chaponnay, derrière, un îlot rejoignant la rue Edison a été aménagé en jardin avec de hauts bacs à plantes sculpté1. Au contraire, après la rue des Rancy, avec une barre en béton et des espaces de verdure dont l'aire de jeux Créqui.
Une ancienne maison sans étage devient anachronique au 228.
Au 261, une cour cache deux belles maisons aux ouvertures rondes.
La rue fait un coude après l'avenue Faure avec une belle enfilade de façades en arrondi du côté ouest.
Coté est, un terrain en contrebas est utilisé par les boulistes avec une jolie halle construite autour des platanes, deux bancs permettent la halte.
Dédicace:
Charles (1578-1638) et François (1625-1687) de Créqui ont été maréchaux de France au 17e siècle.
On peut voir un tableau à leur gloire, représentés partant pour la bataille sur le mur du n°12.
En 1610, le Maréchal de Créqui commanda un Lyonnais célèbre, Claude de Gadagne.
Charles de Créqui a été gouverneur du Dauphiné.
Anne de Créqui est mort à Lyon malgré les soins de Rabelai1. lagdelaine de Créqui a été l'épouse de Charles de Villeroy gouverneur de Lyon.
À la mort de son mari en 1686, elle a été ensevelie au couvent des Carmélites.
Cette grande famille de la noblesse vient de Créquy dans le Pas-de-Calais.
Le sud s'appelait rue des Martyrs.
Origine du nom:
La famille de Créquy, ou de Créqui, est une ancienne famille noble originaire de l'Artois qui prend son nom de la localité de Créquy, dans le Pas-de-Calais. Alphonse, Comte de Canape, lieutenant général pour le Roi à Lyon de 1693 à 1697.Ville de Lyon, Archives municipales de Lyon, index des voies de Lyon, 2022/01/20. sur archives-lyon.fr
Rues de Lyon à travers les siècles de Maurice Vanario (2002)
code FUV: 27802 code FANTOIR: 6903831975G code INSEE: 69383Lyon, située au cœur de la France, séduit par son riche patrimoine, sa culture vivante et sa gastronomie d'exception. Composée de 9 arrondissements, chaque quartier révèle une facette unique de la ville.
La célèbre rue Mercière, ancien carrefour de la soie, fascine par ses façades historiques. La rue Saint-Jean, véritable bijou du Vieux-Lyon, accueille les gourmets et curieux avec ses bouchons authentiques et ses bars animés.
Ses traboules, passages secrets du Moyen Âge, connectent discrètement les rues, offrant une immersion dans l'architecture lyonnaise. Conçues à l'origine pour se déplacer à l'abri des intempéries, elles sont aujourd'hui incontournables pour les visiteurs en quête de mystère.
Mais Lyon est aussi une ville dynamique et ludique. Avec ses bars à jeux, ses parcours d'énigmes et ses jeux de piste à travers les rues, elle offre une expérience unique. Notre partenaire lyon-explorateurs.fr vous invite à découvrir la ville autrement, en vous lançant dans des aventures captivantes à chaque coin de rue.
Enfin, entre deux explorations, vous croiserez des monuments emblématiques : l'Opéra de Lyon, la Basilique Notre-Dame de Fourvière, ou encore le Musée des Beaux-Arts, témoins du passé prestigieux de la ville.